”Dans le silence de l’hiver,
Je veux revoir ce lac étrange,
Entre le cristal et le verre
Où viennent se poser des anges.”
Robert Charlebois

”Dans le silence de l’hiver,
Je veux revoir ce lac étrange,
Entre le cristal et le verre
Où viennent se poser des anges.”
Robert Charlebois
La mer baltique est très peu salée, (4 fois moins que les autres mers et océans) ce qui permet d’observer une faune et une flore très variées.
Voir la glace recouvrir la mer est d’une grande beauté !
Et les oiseaux étaient au rendez-vous : le majestueux et protégé aigle de mer, la corneille mantelée (grise et noire) et bien sûr les canards, mouettes et cygnes.
Je suis originaire d’un petit village de CĂ´te-d’Or, en Bourgogne, qui a inspirĂ© mon dernier roman. Ce village s’appelle Sombernon.
Le journal quotidien du dĂ©partement: Le Bien Public, a publiĂ© un article sur mon roman « Les TĂ©nèbres d’Orcus ». J’ai ressenti beaucoup d’Ă©motions quand j’ai dĂ©couvert cet article, rappel de mon enfance, de mon passĂ©, pour moi qui vis maintenant Ă 2 000 km de ce petit village.
âť„ je recommande âť„
Mélangez une dose de la série « Les revenants », une pincée de l’excellent « Surface » d’Olivier Norek et une portion de la sordide histoire du petit Gregory et vous voilà dans les méandres et l’atmosphère étouffante et anxiogène des « Ténèbres d’Orcus ». Ce sont les trois références (qui me sont propres) qui ne m’ont pas quitté durant toute ma lecture.
Orcus est, dans la mythologie romaine, le dieu des enfers, de la mort et le vengeur des parjures. Et c’est bien une odeur de mort, de serment inviolable et de non-dits abominables qui fermente dans les profondeurs du petit village de Rillon-en-Montagne.
Avec une plume franche et percutante, @bellatrix.auteur (auteur déjà publié en maison d’édition mais qui a choisi un pseudonyme pour ce premier roman en autoédition), signe un roman à la fois dérangeant et addictif.
.
Le personnage principal, bien qu’assez antipathique, clairement stĂ©rĂ©otypĂ© (flic cĂ©libataire qui s’autodĂ©truit Ă coup d’alcool et de clopes, grognon et misanthrope, dĂ©nigrant les bouseux mais aimant collectionner les femmes…bref, vous voyez le topo ?), ce qui aurait pu me faire fuir, a fini, grâce Ă son flair implacable et sa capacitĂ© à « profiler » finement le meurtrier, par crĂ©er un peu d’attachement chez moi. J’ai prĂ©fĂ©rĂ© son acolyte, Arango. Mais le duo fonctionne bien pour dĂ©mĂŞler le vrai du faux. L’intrigue est bien ficelĂ©e et les rebondissements de la fin mettent du piment Ă l’enquĂŞte.
Une très belle découverte pour ce roman autoédité qui mérite d’être lu et qui est finaliste du prix des Étoiles Librinova 2020.
En prenant cette photo ce matin, c’est cette citation de Paul Eluard qui m’est venue à l’esprit.
Lorsque la surface des lacs et des bras de la mer baltique commence à se transformer en glace, et que la neige se dépose sur l’eau gelée, le paysage prend une dimension magnique.
Bonjour à tous ! Aujourd’hui je vous propose de découvrir le thriller de K. Bellatrix : Les ténèbres d’Orcus. Résumé : Rillon-en-Montagne est un village tranquille et isolé du Morvan. Chacun y mène une vie paisible, en apparence. Mais certains habitants protègent un vieux secret. Dans la forêt communale, le corps d’un homme décapité est […]
Les ténèbres d’Orcus de K. Bellatrix — Marion Relecture et Correction
Vidéo complète : https://m.youtube.com/watch?v=m1rdytWDBs4
Winter is coming! L’hiver est enfin lĂ : depuis le solstice, les jours rallongent.
Et l’arrivĂ©e de la neige apporte une lumière qui fait du bien, qui revigore, qui rend vivant, des sensations proches de celles que l’on peut ressentir Ă l’arrivĂ©e du printemps.
Aperçu des alentours de Stockholm.
J’ai rencontré Bellatrix sur Instagram. J’ai tout de suite accroché à ses coups de projecteurs sur la Suède, pays où elle vit. J’était donc impatiente de découvrir son roman. J’étais été impressionnée par la qualité de ce polar. L’écriture est de grande qualité, subtile, nuancée. Les descriptions nous immergent dans ce village de montagne. Le […]
Les Ténèbres d’Orcus de K.Bellatrix — Cléo Ballatore
… et c’est aussi le meilleur moyen de le pĂ©nĂ©trer. » Goethe